Les Quatres NagesTechnique, exercices, éducatifs |
La natation sportive implique la recherche de la plus grande vitesse possible, sur une distance donnée. La technique de chaque style de nage, la force générée et les facteurs mentaux sont enseignés et développés progressivement de telle manière, que la performance sera maximale.
"La performance est davantage limitée par l'habilité technique que par la valeur de VO2max..."
Afin de préparer et d'optimiser au mieux vos objectifs sportifs en natation course, les coachs nata'swim mettent à votre disposition un ensemble de dossiers avec : - des plans d'entraînement spécifiques pour les nageurs; des modéles de séances pour différents niveaux, des exercices d'entraînement et de perfectionnent pour toutes les nages " Crawl, dos, Brasse et papillon".
Apprendre à mieux nager et progresser rapidement sans y passer du temps à chercher les bons exercices "éducatifs" ? C'est possible, seulement si on sait quoi utiliser comme travail.
C'est donc ce que nous proposons dans cette rubrique, et nous sommes plutôt bien placé pour le savoir vu que nous avons passés les vingt dernières années à utiliser et tester l'efficacité de ces exercices sur les bords des bassins. Les performance des utilisateurs des quatre coins du globe ont considérablement augmentées depuis l'ouverture de ce portail.
De très nombreux exemples d'exercices correctifs, d’entraînements, d’apprentissages et de perfectionnement pour tous les niveaux sont disponible actuellement sur le site :
PAPILLON |
DOS |
BRASSE |
CRAWL |
- - Les départs et les virages
- - L'enseignement de la natation
Un rendement optimal est atteint lorsque chaque facteur séparé est à son maximum. mais Il y à quand même des limites à chaque processus d'optimisation. Si vous poussez un facteur au maximum, cela à souvent en pratique, comme conséquence, un effet négatif sur d'autres facteurs. "d'ou la nécessité d'un équilibre" . Donc le processus d'optimisation est un compromis, dont les facteurs déterminants de performance sont équilibrés et synchronisés, ainsi qu'orientés vers un but unique.
Une technique de nage optimale ainsi que la performance qui en découle ne sont pas le résultat de chaque facteur poussé au maximum. C'est l'équilibre (balance active) idéale de tous les facteurs mis en jeu. Cela est valable lors de l'entrainement comme lors de compétition.
L'entrainement de la technique se trouve au centre du processus d''enseignement comme de l'entrainement. Le niveau de condition physique doit être convoité naturellement en même temps que l'augmentation du niveau technique. La propulsion est en relation avec l'emploi de la force, de l'endurance et de la souplesse. Si nous sommes d'accord que le but principal est de nager vite, nous devons alors entraîner en priorité la technique et la condition nécessaire à celle-ci. De ce fait, il n'y à pas d'entrainement de condition sans technique et pas de technique sans condition.
Nous retrouvons à nouveau la portance et la résistance comme points centraux. Toutefois, dans un niveau de perfectionnement plus élève, portance et résistance ne sont pas utilisées aussi simplement, que lors de la description de l'apprentissage de la natation.
La technique du crawlLe crawl est la plus rapide des nages. Il est utilisé sans exception sur l'ensemble des épreuves de haut niveau en nage libre. - Règlement, contraintes environnementalesLe règlement du crawl n'existe pas, c'est celui de la nage fibre. Dans le règlement F. I.N. A., la nage libre signifie que, dans une épreuve ainsi désignée, le concurrent peut nager n'importe quel style de nage, sous réserve que dans les épreuves individuelles de 4 nages ou de relais 4 nages, la nage libre correspond à tout style autre que le dos, la brasse ou le papillon. - Equilibre du corps, résistances à l'avancementL'équilibre du corps est horizontal pour réduire les résistances à l'avancement. Il est important d'avoir un bon alignement horizontal et latéral et un roulis des épaules suffisant tout en limitant les oscillations latérales et frontales du reste du corps. La surface corporelle perpendiculaire à l'avancement (maître couple) doit être la plus réduite possible. La forme de pénétration doit également chercher à réduire les résistances à l'avancement. L'allongement maximal du corps est également un facteur favorisant l'avancement. - Caractéristiques spatiales des mouvements de brasL'entrée de la main se fait en avant de l'épaule avancée, parallèle à l'axe du corps, la paume est orientée vers l'extérieur. Au moment où la main pénètre dans l'eau l'avant-bras est légèrement fléchi sur le bras, puis il y a extension de l'avant- bras dans l'eau. A la phase d'appui un replacement d'équilibre, une suppression des bulles d'air qui risquent d'être sous la main et une dissociation de la position des différents segments les uns par rapport aux autres se réalisent. Dans cette phase, la recherche d'allongement de la main favorisant la réduction des résistances à l'avancement ainsi que la recherche de masses d'eau inertes sont fondamentales. - Caractéristiques temporelles des mouvements de brasSi la traînée propulsive augmente en rapport algébrique avec la vitesse, un cycle propulsif doit se réaliser à une grande vitesse. Un mouvement au ralenti (démonstration) n'aurait que peu d'efficacité propulsive. Mais à l'intérieur d'un même cycle propulsif, composé de plusieurs sous-ensembles (traction poussée ou godilles externe basse, interne, et externe haute) des variations de vitesse (rythme) sont à intégrer. - Coordination des mouvements de brasTrois sortes de coordinations principales se rencontrent en crawl chez les nageurs de haut niveau. Si la première envisagée, le « rattrapé » avant, a plus d'inconvénients que d'avantages, les deux autres coordinations « opposition », ou « superposition », encore appelée chevauchement, ont des avantages et des inconvénients équilibrés. La coordination en « rattrapé » correspond à un temps mort d'un bras (le plus souvent en phase d'appui avant) pendant la phase propulsive de l'autre bras. Ce rattrapé peut être symétrique dans le sens où les deux bras ont des structures spatiales et temporelles correspondantes, mais peut également ne se réaliser que sur un seul bras. Dans la coordination en « opposition », les actions propulsives des deux bras se réalisent sous forme de relais. Au moment où un bras a terminé sa poussée, l'autre bras en opposition démarre sa traction. Ce type de coordination est tout à fait avantageux à la condition qu'une action de jambe active favorise la transmission de ce relais d'action. En effet, la main qui vient de terminer sa poussée doit sortir de l'eau, tandis que la recherche d'appuis sur des masses d'eau inertes de la main avancée ne se fait que progressivement. Dans la coordination en « chevauchement », il y a simultanéité entre la fin de la poussée d'un bras et le début de traction de l'autre. Il y a donc superposition (chevauchement) partielle des actions motrices des deux bras. Cette structure de nage est le plus souvent liée à une réduction du rôle des jambes (donc une augmentation de celui des bras) et correspond à une nage de demi-fond. L'avantage est surtout de nature énergétique car il y a meilleure continuité motrice du train dominant (les bras) et réduction de l'activité des jambes, grosses dépensières d'énergie. Par contre les principaux inconvénients sont liés à la réduction de la phase de recherche d'appui avant dont on connaît l'importance et à l'obligation d'avoir un parcours propulsif qui dure plus longtemps (donc à moins grande vitesse) que l'ensemble des phases de prise d'appui, de parcours aérien de retour du bras, et de sortie de la main de l'eau. Dans le chapitre « L'évaluation objective de la technique » sera présenté l'index de coordination que nous avons mis au point (Chenet, Chalies, 1997) pour identifier le type de coordination utilisé par le nageur. - Organisation respiratoireEn crawl, du fait de l'immersion de la tête en situation d'équilibre correct, l'inspiration se réalise grâce à une rotation latérale de la tête. Celle-ci est associée au roulis général du corps. De ce fait, mais également du fait de la durée brève de la phase inspiratoire, l'équilibre sera peu perturbé. - Prise d'informationsDurant la nage, du fait de la position immergée de la tête, les informations visuelles seront obligatoirement indirectes. Elfes se réaliseront soit à l'extérieur durant une sortie de la tête en phase inspiratoire, mais surtout sous l'eau. L'« ancrage » visuel, particulièrement sur la ligne de fond, aura tendance à servir de point de repère pour organiser symétriquement les actions motrices. - Forme, rythme et coordination des mouvements de jambesL'action des jambes doit permettre l'équilibre et la stabilité du corps en introduisant un facteur propulsif accessoire. - Coordination générale de la nageIl est bien évident qu'en crawl la coordination de la nage sera étroitement liée à la coordination des actions des deux bras. |
La technique du dos crawléDans les épreuves de dos, le dos crawlé est utilisé sans exception par les nageurs de haut niveau. - Règlement, contraintes environnementalesDans l'épreuve de dos, le règlement est relativement contraignant Tors du départ et des virages ; par contre, un seul véritable règlement durant la nage existe : c'est d'être constamment en position dorsale. La position normale du dos peut inclure un mouvement de roulis de corps inférieur à 90° par rapport à l'horizontale. La position de la tête est indifférente. » - Equilibre du corps, résistances à l'avancementComme dans le crawl, T'équilibre du corps est horizontal pour réduire Tes résistances à l'avancement. Il est important d'avoir un bon alignement horizontal et latéral. Le roulis des épaules est devenu plus important pour placer les surfaces propulsives en situation d'efficacité maximale, malgré les limites articulaires, mais également pour dégager l'épaule lors des retours. Celui-ci devra être largement compensé afin de réduire les résistances à l'avancement. La réduction de la surface du maître couple, l'amélioration de la forme de pénétration et l'allongement maximal du corps doivent être recherchés. - Caractéristiques spatiales des mouvements de brasL'entrée de la main se réalise bras en extension complète, dans l'axe de l'épaule. La main pénètre dans l'eau, paume tournée vers l'extérieur, petit doigt en premier afin de réduire au minimum les turbulences. La vitesse acquise pendant le retour fait descendre la main, c'est alors que commence la phase de recherche d'appui. La main qui, compte tenu de l'avancement du nageur va vers l'avant, se place en s'orientant progressivement vers le bas et l'extérieur. Cette recherche d'appui s'accompagne d'un engagement de l'épaule visant à accroître la longueur du trajet propulsif. - Caractéristiques temporelles des mouvements de brasComme dans toutes les nages, la vitesse de réalisation des actions de chaque cycle de nage doit être rapide. - Coordination des mouvements de brasAlors qu'en crawl, des coordinations différentes pouvaient se justifier par leurs avantages, en dos la seule véritable coordination correcte se réalisera en « opposition) ›. - Organisation respiratoireLe dégagé d'une partie de la tête hors de l'eau durant la totalité du cycle de nage pourrait laisser supposer que la respiration en dos crawlé ne pose que peu de problème. Même si cela apparaît paradoxal, c'est souvent en dos que la respiration est la plus anarchique car elle n'est pas associée de manière aussi directe aux actions motrices des bras que lors des autres nages. - Prise d'informationsIndépendamment des virages, lors de la nage la position de la tête va avoir des incidences importantes sur la prise d'informations visuelles. - Forme, rythme et coordination des mouvements de jambesPlus encore qu'en crawl, l'action des jambes permet l'équilibre et la stabilité du corps en introduisant un facteur propulsif accessoire. C'est le battement qui est la forme la plus efficace pour jouer ces rôles sans augmenter la résistance à l'avancement. Le rythme des battements de jambes va donc être étroitement lié aux rôles fondamentaux qu'on veut lui voir jouer. Si le nageur a des problèmes d'équilibre particulièrement lorsque ses jambes ont tendance à couler, il va accélérer plus violemment le battement descendant pour obtenir un effet de portance positive. Si le nageur, bien équilibré, veut utiliser ses jambes comme complément propulsif il accélérera surtout le battement ascendant. Le plus souvent ces deux rôles étant importants, le nageur comme en crawl accélérera les deux phases. - Coordination générale de la nageLe dos étant comme le crawl une nage alternée, la coordination de la nage est étroitement liée à la coordination des actions des bras. |
La technique du papillonLe papillon, plus réglementé que le dos, est pourtant la deuxième nage en matière de performance, après le crawl. - Règlement, contraintes environnementalesLe règlement F. I.N. A. précise un certain nombre de points particulièrement sur !a symétrie et la simultanéité des actions motrices. - Équilibre du corps, résistances à l'avancement- Lors des actions propulsives des bras, la position du corps ne doit pas freiner son avancée. Par contre, lors des phases ondulatoires, l'obliquité du corps ne sera pas un inconvénient. En effet, la surface du maître couple est évaluée en rapport au sens du déplacement et dans ce cas, le déplacement étant oblique, le corps doit suivre cette direction pour réduire les résistances à l'avancement. - Caractéristiques spatiales des mouvements de brasL'ensemble des actions de bras correspond aux phases d'entrée, de recherche d'appui, de traction. de poussée, de sortie et de retour. La phase de traction est composée d'une godille externe et d'une godille basse et interne. La phase de poussée correspond à une godille haute et légèrement externe. - Caractéristiques temporelles des mouvements de brasLa simultanéité des actions des deux bras ne réduit pas l'importance du facteur vitesse. A chaque phase propulsive de la nage, la vitesse de réalisation doit être recherchée. - Organisation respiratoireDu fait de la symétrie et de la simultanéité des actions motrices en papillon, la logique respiratoire dans cette nage aura également un caractère symétrique. L'expiration, particulièrement dans le cas de fréquence respiratoire à chaque cycle de bras, doit se coordonner à la phase inspiratoire afin d'éviter les temps d'arrêt respiratoires (apnée). - Prise d'informationsDu fait de la position axée de la tête sous l'eau lors des phases expiratoires, le nageur peut guider visuellement son déplacement en se repérant à la ligne de fond. - Forme et rythme des mouvements de jambesA la différence des battements des nages alternées (crawl et dos crawlé), le battement en papillon se prolonge au-delà du bassin. En effet, dans un battement alterné, lorsqu'une jambe réalise son mouvement ascendant, l'autre réalise son battement descendant, le bassin ne peut donc prolonger aucune de ces deux phases. Par contre, lorsque la même phase se réalise simultanément avec les deux jambes, le bassin, mais également le rachis vertébral. peuvent prolonger l'amplitude du mouvement. 11 s'agit alors d'une véritable ondulation. Celle-ci est spécifiée par le fait que le même mouvement, sinueux, se réalise dans un même ensemble oscillatoire. Les épaules, le dos, le bassin, les genoux, les chevilles participent les uns après les autres à la même sinusoïde. Par sa correspondance au mouvement de certains cétacés, l'ondulation des jambes et même la nage ont été qualifiées de dauphin. - Coordination générale de la nageSur un cycle complet de bras, deux ondulations, chacune composée d'une phase ascendante et d'une phase descendante, se réalisent. |
La technique de la brasseLa brasse est la plus réglementée des 4 nages codifiées. C'est donc logiquement celle dont les performances chronométriques sont les plus faibles. - Règlement, contraintes environnementalesLes règles essentielles de la F.1.N.A. sont relatives aux caractères symétrique et simultané de la nage. - Équilibre du corps, résistances à l'avancementLa brasse, nage à l'origine horizontale mais offrant d'importantes résistances à l'avancement particulièrement dans le retour des jambes, a évolué de plus en plus vers une verticalisation marquée. - >Caractéristiques des mouvements de brasComparativement aux trois autres nages qui ont un retour aérien des bras, en brasse les phases proprement dite d'entrée et de sortie n'existent pas. D'autre part,' l'action des bras ne dépassant que de très peu le plan des épaules, la phase correspondant à celle de poussée dans les trois autres nages, sera excessivement réduite. - Caractéristiques des mouvements de jambesC'est donc dans ce profilage avant du corps, tête basse et axée que l'action propulsive des jambes va se réaliser. - Coordination générale de la nageLa brasse est une nage simultanée où les actions de chacun des deux trains sont propulsifs et offrent alternativement des résistances à l'avancement. Son efficacité générale sera liée à la continuité motrice et donc à sa coordination générale. - Organisation respiratoireLa symétrie de la nage amène une symétrie dans le positionnement de la tête. La situation spatiale du redressement de la tête à la fin de la godille interne des bras et la situation anatomique de la cage thoracique à ce moment, amènent logiquement le placement de l'inspiration à chacune de ces phases. Le temps expiratoire se place, tout le reste du temps d'action de bras, pour éviter l'apnée. - Prise d'informationsLa brasse est la nage où la position logique de la tête est la plus proche de sa position de référence « terrienne ». De ce fait c'est également Ta nage où les prises d'informations visuelles poseront le moins de problème. |
L'analyse de la technique des départsLe départ plongé, lorsque l'objectif est lié à l'efficacité, doit correspondre à une forme proche de celle réalisée en compétition. Il apparaît que ce départ compétitif va se différencier en fonction de conditions externes au nageur ou qui lui sont propres. - Spécificité du départ par rapport à la nageCe point sera essentiellement lié aux contraintes réglementaires spécifiques à chaque nage, en particulier celles qui concernent les reprises de nage. Le départ en DOS et dans les courses de RELAIS 4 Nages se fait dans l'eau. Au premier long coup de sifflet du juge arbitre les nageurs doivent immédiatement entrer dans l'eau. Au second long coup de sifflet du juge arbitre les nageurs doivent se placer sans délai à leur position de départ. - Spécificité du départ par rapport à la distanceSans entrer dans un débat trop complexe, il est facile d'analyser que plus la distance est courte, plus le temps de nage est court, et plus l'importance relative du départ est grande. - Spécificité du départ par rapport aux conditions matériellesLes plots de départ (de taille réglementée de 0,50 m à 0,75 m de hauteur au- dessus de l'eau, de surface minimale de 0,50 m sur 0,50 m) recouverts d'une matière antidérapante obligatoire, sont d'un angle d'inclinaison ne devant pas dépasser 10 degrés, Ils doivent être construits de façon à permettre au nageur d'agripper la plate forme lors du départ sur l'avant et les côtés. - Spécificité par rapport à la forme du départSi en dos le départ compétitif est uniquement donné par le Starter (- au start ») dans les trois autres nages le départ en prise de relais se réalise en traitant des informations visuelles et non auditives. Dans ce cas le signal de départ sera objectivement prévisible, il sera donc anticipé. Spécificité du départ par rapport aux possibilités et motivations du nageur De la même manière que la technique des nages est liée aux possibilités du sujet, la technique des départs dépendra de facteurs propres au nageur :
Par exemple, un nageur de grande taille, de grande envergure, lent sur le plan de la vitesse de réaction, avec des fibres à dominante endurantes, fatigué, ne pourra pas utiliser la même logique technique qu'un nageur petit, aux segments courts, vif, à fibres dominantes rapides, affûté. La position sur le plot, le maintien de l'équilibre, les mouvements préparatoires devront être particulièrement adaptés aux caractéristiques individuelles. - Les différentes phases du départ1.Mise en place derrière le plot 2.Montée sur le plot (ou entrée dans l'eau pour le dos) 3.Mise en place à l'avant du plot. Immobilité. Préparation 4.Réaction au signal. Ecrasement 5.Poussée. Allégement 6.Impulsion 7.Phase ascendante de l'envol 8.Phase descendante de l'envol. Piqué 9. Entrée dans l'eau 10.Coulée 11.Reprise de nage 12.Nage à vitesse de course |